Chère lectrice, cher lecteur,
Réchauffement climatique à 1,5, inflation à 3,5, taux directeur à 0,5 : ces valeurs et d’autres encore poussent les entreprises et les chaînes d’approvisionnement à leurs limites. Il est donc d’autant plus important que nous nous concentrions sur les solutions, et non sur les problèmes.
Nous consacrons donc le Disclose n° 34 à la gestion des risques en temps de crise. Nous expliquons pourquoi, dans de telles périodes, la confiance en ses propres capacités est nécessaire, tout comme la confiance des collaborateurs, des clients, des investisseurs et de la société. Et comment, aux côtés de partenaires fiables, nous dépassons les limites de la crise – et les nôtres.
Nous considérons qu’il est de notre devoir d’instaurer la confiance et de promouvoir des solutions durables. C’est dans cet esprit que je vous souhaite une lecture inspirante et exempte de toute limite.
Alex Astolfi
Alex Astolfi
Membre de la direction, responsable Audit,
PwC Suisse
Pour éviter un risque de prix de transfert important, les multinationales doivent ajuster le prix des transactions financières interentreprises aux fluctuations du marché. Compte tenu de l’évolution significative des taux d’intérêt au cours des 12 derniers mois, il est temps pour les entreprises de revoir et d’actualiser leurs politiques.
Si vous aviez commencé à travailler dans une banque il y a dix ans, vous vous considéreriez probablement aujourd’hui comme un professionnel expérimenté.
Le BEPS 2.0, en particulier le Pilier Deux, va modifier radicalement le paysage fiscal. En 2022, le processus lancé par l’OCDE a été marqué par de nouvelles avancées significatives. L’année 2023 sera un jalon essentiel dans la mise en œuvre des règles correspondantes au niveau national.
Dans un contexte de hausse des taux d’intérêt et de volatilité des prix des matières premières, les entreprises doivent mettre en œuvre des stratégies solides de gestion des liquidités à long terme.
Le marché de l’énergie traverse une période tumultueuse, avec des prix d'un niveau et d'une volatilité record. Cela pose de grands défis aux producteurs et aux consommateurs, mais aussi pour la gestion des risques et la comptabilité des groupes producteurs d’énergie.
Les « stablecoins », un nom qui en dit long : ils sont stables et durs comme des pièces de monnaie. De plus, ils se négocient rapidement et facilement et peuvent être utilisés pour faire face à des impondérables tels que l’hyperinflation ou la perte de valeur réelle.
Richard Thomas et Alexandra Burns abordent les principaux risques actuels et émergents et expliquent comment y répondre efficacement – au niveau stratégique du conseil d’administration et dans l’ensemble de l’organisation.
Les institutions de prévoyance suisses, qui sont les plus gros investisseurs institutionnels, ne peuvent plus ignorer le thème de la durabilité avec ses dimensions environnementales, sociales et de gouvernance d’entreprise (ESG).
L’erreur est humaine, c'est bien connu, et plus encore dans un monde numérique où la tolérance d’erreur est supposée être nulle. Les pirates informatiques modernes en profitent et s’introduisent généralement dans les systèmes informatiques des entreprises par des portes qui leur sont ouvertes par l’homme.
L’invasion de l’Ukraine par la Russie et l’imposition de sanctions internationales ont un impact économique direct et indirect considérable dans le monde entier. Les entreprises suisses sont concernées, à des degrés variables cependant.
Une série de nouveaux règlements sur la protection des données entrera prochainement en vigueur dans l’Union européenne et concernera également les organisations suisses.
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